La Finale ( Fist ) - The Finale (Fist) - Épisode 10/10
FRANCAIS:
Trois jours de stage de redressement...
Et Peggy n'a toujours pas compris. Alors pour la clôture, je le remets à Maîtresse Divine Lilurine, pour recevoir sa dernière leçon.
À mes pieds, il s'écrase comme l'erreur qu'il est.
Peggy endure une dilatation anale brutale, deux doigts, trois...
Puis la main entière, pour finir un double Fist.
Un rythme dur, cadence implacable, maîtrise totale.
Chaque mouvement lui rappelle qu'il n'est qu'une grosse larve, un esclave qui aurait dû écouter bien plus tôt.
Il transpire, vacille, mais il continue, parce qu'il n'a pas le choix.
Nous le poussons jusqu'au bout de ses limites, jusqu'à ce que son corps brûle de fatigue.
La glace, ensuite, n'est pas un soulagement.
C'est un rappel qu'il n'est qu'un sujet et que sa souffrance ne dépend pas de lui.
Cette créature n'en a jamais assez...
Ou peut-être qu'il ne comprend jamais rien.
Conclusion :
Il a souffert, il a supplié, il a craqué, il a failli s'effondrer... Mais c'est le but d'un stage.
Deux jours de plus ne lui auraient certainement pas fait de mal.
J'ose espérer qu'il retiendra quelque chose...
Mais avec Peggy, rien n'est jamais assuré.
Même l'évidence semble trop difficile.
ENGLISH:
Three days of rehabilitation...
And Peggy still hasn't learned. So, for the finale, I hand him over to Divine Mistress Lilurine to receive his final lesson.
At my feet, he collapses like the mistake he is.
Peggy endures a **** anal dilation, two fingers, three...
Then the whole hand, culminating in a double fist.
A harsh rhythm, an implacable pace, total control.
Each movement reminds him that he's nothing but a big worm, a slave who should have listened much sooner.
He sweats, staggers, but he continues, because he has no choice.
We push him to his absolute limits, until his body burns with exhaustion.
The ice, afterward, is no relief.
It's a reminder that he's just a subject and that his suffering isn't his fault.
This creature is never satisfied...
...
Trois jours de stage de redressement...
Et Peggy n'a toujours pas compris. Alors pour la clôture, je le remets à Maîtresse Divine Lilurine, pour recevoir sa dernière leçon.
À mes pieds, il s'écrase comme l'erreur qu'il est.
Peggy endure une dilatation anale brutale, deux doigts, trois...
Puis la main entière, pour finir un double Fist.
Un rythme dur, cadence implacable, maîtrise totale.
Chaque mouvement lui rappelle qu'il n'est qu'une grosse larve, un esclave qui aurait dû écouter bien plus tôt.
Il transpire, vacille, mais il continue, parce qu'il n'a pas le choix.
Nous le poussons jusqu'au bout de ses limites, jusqu'à ce que son corps brûle de fatigue.
La glace, ensuite, n'est pas un soulagement.
C'est un rappel qu'il n'est qu'un sujet et que sa souffrance ne dépend pas de lui.
Cette créature n'en a jamais assez...
Ou peut-être qu'il ne comprend jamais rien.
Conclusion :
Il a souffert, il a supplié, il a craqué, il a failli s'effondrer... Mais c'est le but d'un stage.
Deux jours de plus ne lui auraient certainement pas fait de mal.
J'ose espérer qu'il retiendra quelque chose...
Mais avec Peggy, rien n'est jamais assuré.
Même l'évidence semble trop difficile.
ENGLISH:
Three days of rehabilitation...
And Peggy still hasn't learned. So, for the finale, I hand him over to Divine Mistress Lilurine to receive his final lesson.
At my feet, he collapses like the mistake he is.
Peggy endures a **** anal dilation, two fingers, three...
Then the whole hand, culminating in a double fist.
A harsh rhythm, an implacable pace, total control.
Each movement reminds him that he's nothing but a big worm, a slave who should have listened much sooner.
He sweats, staggers, but he continues, because he has no choice.
We push him to his absolute limits, until his body burns with exhaustion.
The ice, afterward, is no relief.
It's a reminder that he's just a subject and that his suffering isn't his fault.
This creature is never satisfied...
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